Un de mes amis, moniteur de ski, a reçu récemment le message suivant venant des services départementaux de l'Éducation Nationale, transmis par son école de ski :
Traduisons :
Le ministre de l'Éducation nationale, monsieur Jean-Michel Blanquemerde qui n'a rien préparé, rien anticipé depuis le début de l'épidémie se rend compte que les écoles, collèges, lycées vont avoir un problème de remplacements. En effet, contrairement à ce qu'il affirme depuis le début, le virus circule aussi dans les écoles et beaucoup d'enseignants manquent à l'appel. Comme on manque déjà de remplaçants en temps normal, les fermetures de classes pour absence de maîtres risquent de faire mauvais genre auprès des parents.
Qu'à cela ne tienne. Embauchons des moniteurs de ski, d'équitation, de danse, de tout ce que vous voulez pour finir l'année scolaire. Donc braves gens, nous vous offrons un petit job de deux mois. Nous vous offrons royalement un SMIC tout en exigeant un BAC + 4 (master 1).
Que les Macron boys et leur gourou psychotique soient capables d'une telle désinvolture, d'un tel mépris ne devraient pas étonner les Français qui s'informent ailleurs que dans les média confits dans la dévotion d'Épidémiok 1er.
Mais que des recteurs, directeurs des services académiques, fonctionnaires de l'Éducation nationale transmettent ce genre de messages désinvoltes et méprisants me laisse pantois.
Entre-temps M. Blanquemerde a trouvé un nouveau fléau à combattre : l'écriture inclusive (probablement promue par les islamo-gauchistes).
Quand à mon ami moniteur de ski, comme il n'a pas pu travailler cet hiver, il devrait être indemnisé comme un artisan ou une petite entreprise. Au 5 mai il n'a pas touché un centime et n'arrive pas à joindre le service qui devrait s'en occuper.