La dictature ça ne se voit pas du premier coup d’œil

Ma mère a connu la deuxième guerre mondiale entre 8 et 13 ans. Elle habitait là où j'habite maintenant. Elle m'a souvent raconté comment c'était. Sa grand-mère était une personne un peu rebelle qui se permettait de critiquer ouvertement les nazis au grand dam de son fils (mon grand-père). La voisine aimait bien aller dénoncer à tel point que les gens de la rue la surnommait "d'Hitler Fine" (elle s'appelait Joséphine). Heureusement le quartier était surveillé par un Feldgendarm autrichien déjà âgé et plutôt débonnaire qui n'avait rien d'un nazi. Il y avait bien sûr des restrictions, des tickets de rationnement mais la vie suivait son cours rue du coq.

Pendant ce temps Hitler avait lancé le monde dans une guerre qui a fait plus de 60 millions de morts, a exterminé 6 millions de juifs, gitans et autres homosexuels.

Pourquoi je raconte ça ? Je n'ai pas l'intention de faire un parallèle entre Hitler et Macron. Mais je suggère aux Français d'être vigilants. En un an et demi nous avons connu des restrictions de nos libertés inimaginables avant. Nous avons connu des confinements, des couvre-feux, des attestations de sortie. Alors que parallèlement notre gouvernement n'a jamais été à la hauteur pour combattre la pandémie.

Et maintenant Macron a trouvé le "truc" auquel Hitler n'avait pas pensé. Obliger les Français à se surveiller entre eux. À partir du 1er août il vous faudra un pass sanitaire pour aller au restaurant et si le restaurateur ne vous contrôle pas il risque une amende de 45 000 €. En clair il sera ruiné.

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